EBE Blonds ou "Nordic"

Tandis que les gris composent 75% de toute la rencontre étrangère rapportée aux USA ils apparaissent dans moins de 20% de rapports européens. En tant que tels, Européens sont plusieurs fois pour rapporter rencontrer un étranger nordique qu'un Américain est, et plusieurs fois plus probablement de rapporter rencontrer un ET nordique qu'un gris. La nation avec la proportion la plus élevée de la rencontre rapportée avec les ET nordiques est le Royaume-Uni. [7] [2] [3]

Parlant pendant leur convention 1994 à Washington, les représentants de CSICOP ont noté que les rapports de contact des Anglais ont typiquement parlé de ET nordiques, et ne ont pas inclus n'incluent des gris dans aucun nombre jusqu'en 1987, quand la communion de roman de Whitley Strieber est allée bien à un best-seller là. [7]

Quant à l'aspect “physique” de ces entités, retenons un phénomène très intéressant et qui a été souligné par Karla Turner, aujourd'hui décédée : l'apparence de ces êtres est changeante et l'on ne peut s'y fier. Cette spécialiste reconnue en “enlèvements extraterrestres” en fut elle-même victime. Elle insiste sur le fait qu'au cours des séances d'hypnose, les victimes se souviennent de l'aspect extérieur mouvant, changeant de l'apparence de leur kidnappeur. L'entité apparaît d'abord sous les traits d'un militaire, puis en se concentrant, la victime voit un Gris et en se concentrant encore, il s'agit en réalité d'un reptilien. Turner a pu dénombrer jusqu'à 5 changements de forme. Ce changement d'aspect fait penser à des stratégies pour tromper la mémoire des victimes, des artifices que les Archontes ou les planeurs ne rejetteraient sans doute pas.





Source :

http://www.karmapolis.be/pipeline/empire_des_dragons_noirs.htm

Maya a écrit:Je suis en train de lire "The threat" de David Jacobs....

D'après lui et les nombreux témoignages qu'il a accumulé, les grands blonds ou nordiques seraient en fait des hybrides. Ils présentent les mêmes capacités que les Gris...

J’ai arbitrairement divisé ces hybrides en hybrides de stade initial, stade médian, stade tardif et stade humain. Ceux du stade initial ont l’air assez alien bien qu’ils aient des cheveux, ils sont très minces et ils ont de grands yeux noirs avec un petit peu de cornée blanche. Ils ont des cheveux très fins et un visage de forme bizarre avec un menton pointu. Leur corps est aussi mince. Ils sont rarement vus hors des limites d’un ovni dans lequel ils accomplissent les tâches qu’on leur demande pour assister le programme d’abduction.
Les hybrides du stade médian semblent plus humains. Ils ont de grands yeux noirs avec plus de blanc apparent. Ils ont des cheveux fins mais plus abondants. Ils ont des corps qui ne sont pas aussi minces. Ils aident également aux procédures d’abduction.
Les hybrides du stade tardif sont attachés aux abductés comme des amis personnels et aident les abductés à apprendre à réaliser des projets pour « l’avenir ». Ils sont vus en public et peuvent souvent passer pour humain. Ils vivent à bord des ovnis et font des incursions dans la vie humaine normale pour le programme d’abduction. Ils n’ont pas de vie ici parmi nous.
Les hybrides du stade humains s’occupent des abductés dans leur environnement humain normal. Ils sont, en apparence, indiscernables des humains. Ils ont des processus neurologiques et biologiques différents des humains qui leur donnent des capacités spéciales comme être capable de contrôler les humains.
Ces dix dernières années, les abductés ont décrit plus d’activité hybride à bord des ovnis qu’auparavant. La croissance de l’activité hybride est exceptionnellement significative quand on essaye de discerner les motivations au programme d’abduction.

http://rencontre.r.4.free.fr/alienencounters/articles.php?lng=fr&pg=679



Budd Hopkins a également pas mal d'informations à ce sujet...

Dans un autre exemple, j’ai reçu le récit d’un homme du Liban qui s’est réveillé avec une femme d’apparence humaine au-dessus de lui, engagée dans une activité sexuelle. Il était incapable de bouger. Il est très important de réaliser qu’émotionnellement, ces abductés ont des difficultés à faire face à de telles expériences. Ils ne sont pas excités sexuellement d’une manière normale. Ils sont horrifiés, souvent dégoûtés et impuissants et il semble que la chose est accomplie grâce à un certain contrôle qu’ont les aliens sur le système nerveux. L’homme a trouvé cette créature assise à califourchon sur lui avec une autre femme à côté. Il a eu l’impression, dans son horreur, que cette forme humaine à califourchon expliquait à l’autre comment avoir des relations sexuelles avec un homme humain. Certaines de ces créatures apparemment hybrides peuvent presque passer pour un humain dans notre monde ; leur corps et leur visage sont presque humains ; cependant, elle peuvent avoir été créées. La chose importante est qu’ils peuvent agir, dans une certaine mesure, ici dans notre monde.

http://rencontre.r.4.free.fr/alienencounters/articles.php?lng=fr&pg=799

*Maya* a écrit:Des "blonds" sont effectivement observés aux côtés des Gris. Quant au reste des créatures d'apparence humaine observées lors de ces rencontres rapprochées, elles n'ont pas de couleurs de cheveux spécifiques, les apparences sont variées.



Un bref résumé de ce que Travis Walton a vécu lors de son enlèvement et de sa rencontre avec des êtres blonds (accompagnant des Gris) :

....Il se rend compte avec stupeur, en se retournant vers l'entrée afin de vérifier si les créatures l'ont retrouvé, une personne debout à quelques mètres de lui.

Travis se sent soulagé, pense naivement à du secours, peut être de la NASA? L'homme porte un casque et une sorte d'uniforme de velour marron. Il mesure environ 1,90m et doit peser 90 kg, il est bien bâti, musclé, aucun insigne n'est visible sur son uniforme. Il fait signe à Travis de s'approcher, Travis s'avance vers lui en lui posant des tonnes de questions, l'homme reste silencieux.

Une fois près de l'"homme", Travis peut voir en détail son visage, il a des cheveux blonds, mi longs, a part ses cheveux, Travis ne remarque aucune pilosité sur son visage, il a des yeux, bruns, très clairs, presque dorés, un regard très étrange. L'homme sourit amicalement, sans répondre aux questions de Walton, lui fait signe de le suivre.Travis se sent soulagé d'être en compagnie d'un "humain", même si le silence de celui-ci est plutôt inquiétant.

Le blond l'emmène jusqu'à une grande pièce éclairée, seulement meublée d'une longue table et d'une chaise. Trois personnes se tiennent là, deux hommes,une femme qui eux ne portent pas de casques, ni d'insignes sur leurs uniformes. Tous trois sont blonds et ressemblent étrangement à "l'homme" accompagnant Travis.
[...]
Ces êtres semblent parfaits, leur corps, leurs visages, ils n'ont aucune ride, aucune marque sur leur peau, pas de petites cicatrices ou tâches de rousseur par exemple.


Je pourrais trouver d'autres exemples, je n'ai pas le temps de chercher ce soir

*Maya* a écrit:A ma connaissance, il n'y a pas de livre traitant essentiellement des "blonds" (sauf sur Ashtar et tout le tralala, mais cela n'a strictement rien à voir), mais on retrouve des témoignages dans divers ouvrages.

Les blonds que nous mentionnons là, Pomme et moi, n'ont rien à voir avec Ashtar et compagnie, il s'agit là d'êtres d'apparence humaine, aux comportements étranges, impliqués dans des expériences d'abductions.

Un autre exemple, mentionné par Budd Hopkins, une rencontre avec un être blond vécue par Kathie Davis (et d'autres témoins):

En 75, Kathie, qui avait alors 16 ans, a passé un long wekend avec son amie Nan, les parents de celle-ci, son petit frère et son petit ami Sam dans un chalet du parc naturel, le Rough River state Park dans le Kentucky.... Elles avaient rencontré des garçons par l'intermédiaire de la CB. Cette soirée a été assez étrange... Elles discutaient avec un type sur la CB, devant le chalet, et blaguaient. Il leur a demandé où elles se trouvaient, et elles ont répondu que s'il le découvrait, elles offraient les boissons et qu'ils feraient la fête. Après un certain temps, Nan, Sam et le petit frère de Nan en ont eu aseez et sont rentrés au chalet. Kathie a continué à discuter sur la CB, et d'un coup, sans qu'elle lui ait dit où elle se trouvait, il est arrivé dans une vieille bagnole. En fait ils étaient 4, l'un d'entre eux est resté dans la voiture, et les trois autres sont venus la voir. Le blond, avec qui elle avait parlé sur CB, était très sympathique, les deux autres ne disaient pas un mot, ils étaient assez grands, minces et se ressemblaient. Kathie les a invité à prendre un verre dans le chalet, les deux copains du blond restaient debout , il n'y avait que le blond qui parlait et disait être dans un groupe de rock et jouer la même musique que ce que Kathie écoutait à l'époque. Kathie, Sam, Nan, les parents et le petit frère de Nan les ont vu, se souviennent très bien d'eux et ont les mêmes souvenirs que Kathie. Les types n'ont à aucun moment dit comment ils s'appelaient.

Le lendemain de cette conversation avec Nan et son entourage, Kathie et Budd Hopkins décident d'approfondir les choses avec une régression:
Elle se souvient de cette soirée, alors qu'elle était seule dans dans pickup a discuter avec ce type. D'un coup, la CB s'est mise à grésiller, il y avait 4 lumières au dessus du véhicule, Kathie avait peur, s'est cachée sous le volant, accroupie, elle a demandé :"qui êtes vous, que voulez vous?". Sur ce, la CB s'est remise à fonctionner, elle a entendu le type lui dire : "je crois que je t'ai trouvé, regarde en bas du chemin", les lumières au dessus de sa voiture ont disparu et elle a vu une voiture arriver. Avant d'arriver devant le chalet, ils ont éteint les phares, ou plutôt LE phare puisqu'il semblait que seulement un phare fonctionnait.
Sous hypnose, cela semble bizarre à Kathie de voir cette voiture comme "glisser" sur le chemin, alors que la route était mauvaise et pleine de trous. La lumière restait droite, pas comme une voiture aux phares allumés qui passe sur une mauvaise route.
Les trois types descendent de voiture, Kathie va à leur rencontre, seul le blond lui dit "Hi!" et il lui demande où se trouve Nan. Elle lui répond qu'elle est rentrée. A la demande du blond s'il peut la voir, elle répond que oui, et les invite à entrer dans le chalet. Elle est étonnée de retrouver tout le monde dans le salon, Kathie, ses parents, son petit frère et son petit ami, alors qu'il était très tard, et que les parents de Kathie ne soient pas en colère de cette visite nocturne. Elle décrit le blond comme le "chef", celui qui parlait, prenait les décisions. Les deux autres étaient différents dans leur comportement, grands, très minces, elle ne se souvient plus de leur visage, mais silencieux, un posté près de la porte d'entrée, l'autre près de la mère de Nan.

Kathie ne se souvient plus d'autres détails, même sous hypnose.Mais elle a l'impression d'avoir revu ce blond quelques années plus tard. Elle le décrit comme "souriant avec les yeux".

*Maya* a écrit:Un extrait de TAKEN de Karla Turner

"Subitement, Pat eut sommeil mais n’eut aucun souvenir d’être retournée au lit. Elle
se souvint qu’ensuite elle vit des lumières bleues, pourpres et violettes tournoyer
lentement dans la chambre, dans un silence total. Elle descendit du lit et regarda par
la fenêtre où elle vit un Gris qui flottait dans l’air.
«Quels yeux incroyables !» pensa t’elle, «ils peuvent nous filmer!» Elle sentit le
regard fixe du Gris l’envahir complètement et réalisa que la créature lui était familière.
«Ne sois pas effrayée» lui dit-il. «Tu es l’enfant élue. Nous ne te ferons aucun mal».
Pat se retourna et vit plusieurs entités blanches de plus grande taille entrer dans
la chambre. Quand ils emmenèrent sa grand-mère en planant dans les airs, Pat,
elle-même très effrayée, perçut la terreur de la vieille dame. La pièce était remplie
de ces étranges créatures lorsqu’un faisceau de lumière étincelante descendit du
plafond. Pat vit en son centre un personnage qui lui faisait penser à Jésus et qui
semblait fusionner avec la source de lumière. Blond aux yeux bleus, il était drapé
d’une tunique resplendissante. Il prit la main droite de Pat et, tout en lui montrant les
créatures qui les entouraient, lui racontât : «Ne soit pas effrayée mon enfant, ceuxci
sont les miens».
«Jésus» regarda Pat et lui dit encore, «je suis la lumière du monde», puis il fut à
nouveau emmené par le faisceau de lumière scintillante qui l’entoura en remontant
vers le plafond."

JusteUneOmbre a écrit:Loin de moi l'idée de dire du mal de Karla Turner, mais les 2 livres que j'ai pu lire d'elle (Taken et la masquarade des anges qui sont dispo en VO et en PDF sur le net) m'ont donné l'image d'une femme hautement marquée par sa religion ce que l'on retrouve dans ce passage.

A mon avis ces livres n'ont rien à voire avec l'ufologie ou avec d'éventuels extra-terrestres mais plutôt à de la science fiction, certes inspirée de son vécus et de celui d'autre témoignage, mais de la science fiction quand même. Je ne reparlerais pas du caisson sensoriel qui permet à certaines peronnes de voire Jesus, mais là de mon point de vue la description est bien trop orienté (mais je respecte tout à fait cela dans une oeuvre de fiction).

Même si beaucoup de personnes (je me fit à ce qui est écris sur le site web en leur hommage pour dire ça) considèrent les deux livres que j'ai cités comme des références sur les abductions, je trouve qu'il est bien difficile de les prendre avec trop de sérieux, cela sent trop le New Age pour moi.

*Maya* a écrit:J'ai personnellement lu TAKEN (en entier, traduit en allemand) et Into the Fringe (pas encore eu le temps de lire Masquerade of Angels ).
Pour avoir lu pas mal de choses penchant vers le New-age, je ne partage pas ton opinion à ce sujet.

TAKEN relate les expériences de huit femmes concernées par les enlèvements (ou les militaires ou soi-disant militaires joueraient un rôle). Ces expériences, bien que semblables les unes aux autres, sont vécues différement, selon les convictions, les croyances des victimes.

Quant à Into the Fringe, je me permets de citer ce que Karmapolis a écrit à ce sujet, puisque tout y est parfaitement décrit :

C’est par la force des «choses» que Karla entrera, en mai 1988, dans un monde encore inimaginable pour beaucoup.
En l’espace de quelques semaines, c’est la vie tranquille et bien organisée de toute une famille qui sera envahie par la résurgence de souvenirs incroyables, peuplés d’ombres fuyantes, d’entités reptiliennes, d’inquiétantes expériences «médicales», d’apparitions d’OVNIS et par la découverte d’ecchymoses et de cicatrices étranges au lever du lit.
Un phénomène qui touchera Karla et Elton Turner, son mari, mais aussi leur fils et son copain de chambrée ainsi que Megan (pseudonyme), qui deviendra plus tard leur belle-fille.

Pendant un peu plus d’un an, Karla Turner transcrira au jour le jour leurs expériences dans un journal qui servira de base à son premier livre, Into The Fringe (Berkley edition – 1992), qui est un compte rendu précis, vu de l’intérieur, de la vie quotidienne d’une famille sous l’emprise d’une force qui ne dit pas son nom.

Un livre témoin, dense et inattendu où Karla Turner annonce la couleur d’entrée de jeu : «Les gens qui figurent dans ce livre sont des victimes. Ils sont aussi ma famille, mes amis et ce qui leur arrive m’importe beaucoup. Je pense que tout le monde devrait partager mon sentiment car notre histoire démontre qu’aucune famille, aucun enfant ni aucun ami n’est à l’abri du phénomène des enlèvements et cela d’autant plus que les évènements vécus par notre petit groupe se répètent, à l’instant même, dans des milliers de foyers», expliquera-t-elle en introduction, comme pour se justifier de cette confession publique et forcément impudique d’une nouvelle vie qu’elle n’a pas choisie mais qu’elle embrassera avec force et détermination.

Pas question donc de voir ces intrusions comme un coup de pouce providentiel du génie génétique de nos «frères de l’espace» pour surmonter le chaos spirituel, politique et écologique d’un monde en déconfiture. Ce sera d’ailleurs son cheval de bataille car pour Karla Turner, une abduction n’a rien d’un accompagnement spirituel transcendantal, c’est un viol du corps et de la conscience : «Avant de croire en la bonté des extraterrestres, nous devrions nous demander pourquoi des entités évoluées opèrent de nuit pour prodiguer leurs «soins»? Pourquoi nous paralysent-ils et nous empêchent-ils de résister? Pourquoi des anges s’amuseraient-ils à voler nos fœtus? Pourquoi manipulent-ils les organes génitaux de nos enfants et pourquoi ont-ils besoin de sonder nos rectums? La peur, la douleur et la mystification seraient-elles compatibles avec leurs desseins soi-disant spirituels?» dira-t-elle en conclusion d’un article consacré aux séquelles des enlèvements.

Turner dressera un constat dur, sans concession et peut-être amer pour certains chercheurs, psychiatres et psychologues comme Leo Sprinckle, Richard Boyland ou encore John Mack et bien d’autres. Des personnalités qui ont défendu et défendent encore l’idée d’un partenariat spirituel avec les «extraterrestres», une sorte d’association symbiotique qui, au-delà des souffrances imposées par l’exercice, permettrait à un abducté de prendre conscience de sa relation «spéciale» avec ses ravisseurs, de développer une pensée évolutive et holistique ou mieux encore, une conscience écologique profondément concernée par la survie de la planète.
A écouter Karla Turner, ces théories —tout comme celles d’autres chercheurs qui ont exclusivement voulu voir dans ces rapts une opération d’hybridation de notre espèce— sont fondées sur des données incomplètes car leurs auteurs ont opportunément choisi d’écarter tout ce qui ne collait pas avec leurs déductions.

Aux antipodes de la vision, quelque peu idéaliste, de l’extraterrestre bienveillant véhiculée par certains concepts new age, les aliens de Turner sont les «maîtres de l’illusion» : fourbes, menteurs, manipulateurs et obsédés par notre sexualité, ils possèdent une technologie qui leur donne les clefs de notre conscience, de notre mémoire et de notre univers émotionnel.

Pomme Golden a écrit:

Ces expériences, bien que semblables les unes aux autres, sont vécues différement, selon les convictions, les croyances des victimes.

:trinque:

Je trouve cela important comme détail d'ailleurs. Il y a comme une certaine "adaptabilité" à la victime : qui ne doit rien au hasard je pense.

JusteUneOmbre a écrit:Oui justement une adaptation bien trop grande à mon goùt. Et en fait ce qui est dit sur Karmapolis pourrait aussi être dit à l'encontre de Karla Turner, à savoir que leurs théories "sont fondées sur des données incomplètes car leurs auteurs ont opportunément choisi d’écarter tout ce qui ne collait pas avec leurs déductions", en fait personne n'a la vérité absolue et en lisant les livres j'ai eut l'impression que les personnages recherchaient bien la vérité mais que le narrateur non (le problème étant que comme le narrateur n'a pas d'identité propre, cela l'associe à l'auteur).

En fait mon problème avec ces livres c'est que les histoires y sont racontés comme des histoires et qu'on ne prend pas suffisemment de distance, mais je suppose que c'est un choix volontaire sûrement justifiable.