Homme curieux a écrit:Est-il possible que des extra-terrestres aient atterri en Chine il y a très longtemps suite à l'écrasement de leur vaisseau spatial et s'y soient installés? Des scientifiques et des archéologues ont étudiés des tombes, des restes, et d'étranges objets, un ethnologue en a discuté avec leur descendants, un linguiste a traduit leur récit... Mais aucune étude récente ne s'est intéressée à cette affaire incroyable, qui pourrait bouleverser tout ce que nous croyons savoir de notre histoire et de notre place dans l'univers, et qui finalement ne servira qu'à servir de trame à un épisode de la série X-Files.
INTRODUCTION:
L'une des histoires les plus extraordinaires relative à des visiteurs extra-terrestres débute en 1938 alors que l'archéologue Chi Pu Tei découvre une série de tombeaux régulièrement creusés et alignés dans des cavernes artificielles des montagnes de Baian Kara Ula près de la frontière Sino-Thibétaine. Entre des décorations montrant de petits êtres coiffées de casques, des étoiles, des planètes et des lignes qui les joignent, il trouva de petits squelettes aux larges crânes. Il fut vite évident que les étranges squelettes n'étaient pas ceux d'une espèce inconnue de singe, lesquels n'enterrent pas leur morts!
On trouva également des objets de pierre contenant des traces de métaux incongrues, parfaitement circulaires et ornée de symboles stellaires et d'une écriture minuscule en spirale. Ce n'est qu'en 1962, qu'un linguiste Chinois réussit à traduire le texte d'un des 700 disques entreposés à l'Académie de Pékin.
Cette traduction nous rapporte l'histoire d'un groupe d'êtres qui se sont écrasés sur la Terre il y a 12.000 ans et qui se sont trouvés incapables de réparer leur vaisseau. Ce groupe fut d'abord traqué, à cause de son apparence inhabituelle, par la tribu de chasseurs qui occupait les lieux, mais finit à force de gestes pacifiques à se faire accepter et à s'installer en paix. Cette traduction fur largement ignorée ou moquée par les collègues du traducteur, car elle ne cadrait vraiment pas avec les idées que l'on pouvait alors accepter.
EN RESUME:
En 1938 dans les montagnes de Bayan Kara Ula, dans l'Himalaya à la frontière de la Chine et du Tibet, une équipe d'archéologues Chinois entreprit de fouiller systématiquement une série de cavernes interconnectées.
Leur intérêt pour ces lieux avait été éveillé par la découverte d'une série de tombes alignées avec soin qui contenait des restes de squelettes de ce qui devait bien être un race d'être humains inédite. Leurs corps étaient petits et frêle, leur tête largement plus grande que des têtes normales, au point qu'on crut d'abord avoir découvert une espèce inconnue de singes, jusqu'à ce que l'absurdité de l'idée de singes qui creusent des tombes décorées pour enterrer leur morts exclue cette possibilité.
Etudiant un des squelettes, l'un des membre de l'expédition trébucha sur un disque de pierre enfoui dans le sol poussiéreux de la caverne. L'objet évoquait une sorte de disque phonographique préhistorique. Un trou parfaitement circulaire en son centre, et un sillon spiralant de petits caractères inconnus.
Personne ne put comprendre le sens du texte, le disque fut étiqueté et expédié en compagnie d'autres découvertes vers Pékin, ou quelques experte s'acharnèrent pendant 20 ans sans succès à les décoder, jusqu'à ce que finalement le docteur Tsum Um Nui comprit cette écriture inconnue et se mit à le déchiffrer. L'Académie des Etudes Préhistoriques de Pékin lui interdit de mentionner et de publier son travail, il outrepassa cette interdiction deux ans plus tard.
Le texte racontait l'histoire d'une "sonde spatiale" pilotée par les habitants d'une autre planète qui s'écrasa dans les montagnes de Baya Kara Ula. Leurs intentions pacifiques ne furent pas immédiatement claires pour la tribu de chasseurs troglodytes qui occupaient les lieux, qui tuèrent encore de nombreux survivant, effrayés qu'ils étaient par l'aspect inhabituel de ces êtres.
Ceux-ci se présentèrent comme les "Dropas", et à force de signes finirent par convaincre de leurs intentions pacifiques, expliquant qu'il venaient "des nuages" et qu'ils n'avaient aucun moyen de réparer leur véhicule ou d'en construire un autre.
En 1965, 716 autres disques gravés furent trouvés dans les mêmes cavernes. Les légendes de la région mentionnent des petits hommes jaunes venant des nuages, ayant de grosses tête et des corps très frêles, si horribles qu'ils étaient pourchassés et tués.
Sur les parois étrangement lissés des cavernes, on trouva des dessins précis du soleil, de la Lune, de la Terre et de plusieurs étoiles identifiables telle Sirius, avec des lignes en pointillés qui les joignent entre elles. Ces dessins ont été datés de 12.000 ans avant nos jours.
La zone des cavernes est toujours habitée par deux tribus semi-troglodytes connues comme les Han et les Dropa ou Dzopa. Les deux tribus sont d'apparence très étranges, de corps fragiles, d'une taille dépassant à peine le mètre pour les adultes, des têtes disproportionnées et de grands yeux à l'iris bleu. Ils ne sont ni typiquement Chinois ni Thibétains.
En Russie, plusieurs disques furent examinés. Il fut montré qu'ils contiennent de grandes quantité de Cobalt et d'autres substances métalliques. Placés sur une table tournante, Ils émettait un bourdonnement bas, comme s'ils avaient une activité électrique.
Source : http://ufologie.net/indexf.htm
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Les Dropas
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Les Dropas
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Re: Les Dropas
Homme curieux a écrit:Photos des disques : http://ufologie.net/htm/droppic2f.htm
Photo de Dropas : http://ufologie.net/htm/droppicsf.htm
Dropas (suite) : http://ufologie.net/htm/drophartf.htm
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- Message n°3
Re: Les Dropas
Homme curieux a écrit:Les Dropas:
Un texte dont l'auteur n'est pas identifié, la source manquante, qui relate également l'histoire des Dropas et leur mystérieuse origine.
LES DROPAS
Au cours des années passées depuis la découverte du premier disque, les archéologues et les anthropologues en avaient appris plus au sujet de la région isolée de Bayan-Kara-Ula. Et une grande partie de l'information a semblé corroborer l'histoire bizarre enregistrée sur les disques. Des légende toujours préservée dans la région parlent de petits hommes, décharnés, à la face jaune qui "sont venus des nuages, il y a longtemps, il y a bien longtemps." Les hommes avaient des têtes énormes et renflées et des corps grêles et étaient si laids et repoussants que les tribus locales à cheval les ont traqués. Etrangement, la description des "envahisseurs" correspondait avec les squelettes découverts à l'origine dans les cavernes par le professeur Chi Pu Tei. Sur les murs des cavernes elles-mêmes les archéologues avaient découvert des images brutes du soleil se levant, de la lune, d'étoiles non identifiables et de la terre... toutes jointes ensemble par des lignes en pointillé. Comme les disques, les dessins des caverne avaient été datés d'autour de 12.000 ans.
Le secteur des cavernes est toujours habité par deux tribus de semi-troglodyte connues sous le nom des Hams et des Dropas, eux-mêmes extrêmement étrange d'apparence. Les frêles gens des tribus ont en moyenne seulement environ cinq pieds de taille et étaient en général ni chinois ni tibétains. "Leur fond racial," a dit un expert, "est un mystère." Mais même avec les publications de la traduction étonnante de professeur Tsum Um Nui, l'histoire des "disques de l'espace" n'est pas finie. Des scientifiques russes ont été invités à voir les disques et plusieurs ont été envoyés à Moscou pour examen. Ils ont été débarrassés des particules de roche qui étaient collées à eux et ont alors été soumis à l'analyse chimique. A la surprise des scientifiques, ils se sont avérés contenir de grandes quantités de cobalt et d'autres substances métalliques. Ce n'était pas tout. Une fois placés sur un plateau tournant spécial - selon le Dr. Vyatcheslav Saitzev, qui a décrit les expériences dans le magasine Soviétique Sputnik - ils ont vibré ou "ont ronflés" en un rythme peu ordinaire comme si une charge électrique les traversait. Ou comme un scientifique l'a suggéré, "comme s'ils avaient été une partie de quelque circuit électrique." A un moment donné, clairement, ils avaient été exposées à des tensions électriques extraordinairement élevées. Les disques ont-ils réellement enregistré une mission spatiale avortée par des astronautes étrangers il y a 12.000 ans? Presque tout les principaux "spéculateur de l'espace" - des théoriciens comme Erich von Daniken et Peter Kolosimo - le pensent. Du moment que l'on accepte la proposition que des extraterrestres peuvent avoir déjà effectué des visites de la terre, alors il s'ensuit qu'une partie de leur sondes spatiales doivent avoir échoué et des astronautes doivent avoir été perdus.
Aujourd'hui, cette région isolée est habitée par deux tribus qui, de fait, se nomment elles-mêmes les Dropas et les Hans. Les anthropologues ont été incapables de classer l'une ou l'autre tribu parmi une race connue; ils ne sont ni Chinois ni Tibétains. Les deux tribus ont une stature de pygmées, les adultes mesurant entre 3 pieds 6 et 4 pieds 7 avec une taille moyenne de 4 pieds 2, et leur poids corporel va de 38 à 52 livres. Ils sont jaunes de peau avec les corps minces et des têtes disproportionnées, trop grandes, correspondant aux restes squelettiques trouvés dans les cavernes en 1938. Ils ont des poils clairsemés sur leurs corps et ont de grands yeux qui ne sont pas asiatiques d'aspect, mais ont des iris bleu clair.
On dit qu'il y a également un conte chinois antique qui pourrait soutenir les affirmations sur les Dropas. Le conte narre l'histoire d'un petit peuple de gens minces de peau jaune, qui est descendu sur la terre depuis les nuages, et qui ont été évités par tous en raison de leur laideur.
Source : http://ufologie.net/htm/droparchf.htm
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- Message n°4
Re: Les Dropas
salut,
Il est étonnant qu'on n'en sache pas plus sur ce peuple à l'aspect si singulier. La photo du couple royal semble bien représenter des humains qui ne sont pas si malformés que ça. Ils sont justes plus petits que nous - et évidemment, si leur boite cranienne possède la même capacité que la nôtre, elle s'en trouvera démesurée proportionnellement à leur corps.
A priori, on pourrait penser à une forme de nanisme. Il existe une grande gamme de causes liées au nanisme. Scientifiquement sa nature génétique n'est pas avérée, du moins chez l'homme - mais en général il se traduit par le fait que la taille de l'individu n'excède pas 1 m 50. Ce qui correspond à la taille maximale des Drozpas.
Du point de vue de l'évolution, les espèces touchées par le nanisme sont généralement insulaires, endémiques : les resources du milieu contribuent largement à provoquer ce symptôme. Je dis "symptôme" mais le nanisme n'est pas par essence pathologique : il peut être l'effet d'une réaction physiologique ou voire psychologique (nanisme sociopsychologique dans lequel la croissance peut être altérée par des facteurs affectifs par exemple).
Bayan Kara Ula se situe dans le Sichuan qui est une région assez riche, célèbre pour sa gastronomie et également pour ses complexes miniers très anciens. Il ne faut pas omettre la possibilité qu'un minéral soit à l'origine de cette faiblesse de croissance, ou un élément de la nutrition. le Sichuan compte 135 variétés de minéraux dont le vanadium, le titane, le lithium.
Le vanadium par exemple est très toxique :
Homme/mammifères: Le pentoxyde de vanadium provoque des irritations de la peau et des muqueuses (au bout de huit heures pour une dose de 0,1 mg/m3) et constitue un poison pour le sang, le foie et les reins. Les effets de l'intoxication chronique sont les suivants: bronchite, pneumonie, anémie ainsi que lésions du foie et du système rénal (0,1-0,4 mg/m3 entraînent, au bout de 10 ans, des altérations des muqueuses nasales, une bronchite chronique et une coloration de la langue; sel.HORN, 1989). Les effets sont fonction de la taille des particules: les aérosols >5µm ne peuvent pas pénétrer dans les poumons. L'élimination se produit à raison de 40-60% au bout de 1 à 3 jours par les urines, et à raison de 10-12% par les intestins. Le pentoxyde de vanadium a un effet inhibiteur sur les enzymes, empêche la synthèse de l'acide ascorbique et des acides gras, et porte atteinte à l'A.D.N. (HORN, 1989).
Bien que l'emplacement de ces mines ne soit pas précisé, elles se situent à proximité de Bayan Kara Ula. Vu que la croissance est régulée par des glandes, une intoxication prolongée, même à microdose, peut affecter celle-ci.
Tout le contexte culturel des Drozpas semble bien humain : les sépultures retrouvées montrent un culte traditionnel d'inhumation.
Le disques quant à eux figurant le "trajet" de l'homme né d'une étoile jusqu'à la terre, coorespond en tout point à la cosmogonie des anciens peuples. Prenons par exemple les indiens du Dakota : Dakota (le nom indien des indiens) signifie "homme né d'une étoile". C'est une étoile qui donna l'humanité à la terre, dans l'ancienne tradition. Il existe de nombreux poèmes contant cette création céleste. Il faut prendre garde à ne pas en faire une création stellaire.
Mais il n'empêche que l'énigme de ces disques n'est pas résolue. Peut-être sont-ils des objets mortuaires s'enfilant sur un moyeu - les peuples peuvent perdre la connaisance de leurs cultes les plus anciens, notamment lorsqu'ils sont envahis par des peuples de l'extérieur ( et les chinois peuvent être très envahissant ). Pour ce qui est de la charge éléctrique qu'ils semblent posséder : cela peut dépendre de la présence d'un minerai conducteur dans la composition de ces disques.
Quoi qu'il en soit, il n'y a pas beaucoup d'infos, ce qui rend difficile toute analyse.
Il est étonnant qu'on n'en sache pas plus sur ce peuple à l'aspect si singulier. La photo du couple royal semble bien représenter des humains qui ne sont pas si malformés que ça. Ils sont justes plus petits que nous - et évidemment, si leur boite cranienne possède la même capacité que la nôtre, elle s'en trouvera démesurée proportionnellement à leur corps.
A priori, on pourrait penser à une forme de nanisme. Il existe une grande gamme de causes liées au nanisme. Scientifiquement sa nature génétique n'est pas avérée, du moins chez l'homme - mais en général il se traduit par le fait que la taille de l'individu n'excède pas 1 m 50. Ce qui correspond à la taille maximale des Drozpas.
Du point de vue de l'évolution, les espèces touchées par le nanisme sont généralement insulaires, endémiques : les resources du milieu contribuent largement à provoquer ce symptôme. Je dis "symptôme" mais le nanisme n'est pas par essence pathologique : il peut être l'effet d'une réaction physiologique ou voire psychologique (nanisme sociopsychologique dans lequel la croissance peut être altérée par des facteurs affectifs par exemple).
Bayan Kara Ula se situe dans le Sichuan qui est une région assez riche, célèbre pour sa gastronomie et également pour ses complexes miniers très anciens. Il ne faut pas omettre la possibilité qu'un minéral soit à l'origine de cette faiblesse de croissance, ou un élément de la nutrition. le Sichuan compte 135 variétés de minéraux dont le vanadium, le titane, le lithium.
Le vanadium par exemple est très toxique :
Homme/mammifères: Le pentoxyde de vanadium provoque des irritations de la peau et des muqueuses (au bout de huit heures pour une dose de 0,1 mg/m3) et constitue un poison pour le sang, le foie et les reins. Les effets de l'intoxication chronique sont les suivants: bronchite, pneumonie, anémie ainsi que lésions du foie et du système rénal (0,1-0,4 mg/m3 entraînent, au bout de 10 ans, des altérations des muqueuses nasales, une bronchite chronique et une coloration de la langue; sel.HORN, 1989). Les effets sont fonction de la taille des particules: les aérosols >5µm ne peuvent pas pénétrer dans les poumons. L'élimination se produit à raison de 40-60% au bout de 1 à 3 jours par les urines, et à raison de 10-12% par les intestins. Le pentoxyde de vanadium a un effet inhibiteur sur les enzymes, empêche la synthèse de l'acide ascorbique et des acides gras, et porte atteinte à l'A.D.N. (HORN, 1989).
Bien que l'emplacement de ces mines ne soit pas précisé, elles se situent à proximité de Bayan Kara Ula. Vu que la croissance est régulée par des glandes, une intoxication prolongée, même à microdose, peut affecter celle-ci.
Tout le contexte culturel des Drozpas semble bien humain : les sépultures retrouvées montrent un culte traditionnel d'inhumation.
Le disques quant à eux figurant le "trajet" de l'homme né d'une étoile jusqu'à la terre, coorespond en tout point à la cosmogonie des anciens peuples. Prenons par exemple les indiens du Dakota : Dakota (le nom indien des indiens) signifie "homme né d'une étoile". C'est une étoile qui donna l'humanité à la terre, dans l'ancienne tradition. Il existe de nombreux poèmes contant cette création céleste. Il faut prendre garde à ne pas en faire une création stellaire.
Mais il n'empêche que l'énigme de ces disques n'est pas résolue. Peut-être sont-ils des objets mortuaires s'enfilant sur un moyeu - les peuples peuvent perdre la connaisance de leurs cultes les plus anciens, notamment lorsqu'ils sont envahis par des peuples de l'extérieur ( et les chinois peuvent être très envahissant ). Pour ce qui est de la charge éléctrique qu'ils semblent posséder : cela peut dépendre de la présence d'un minerai conducteur dans la composition de ces disques.
Quoi qu'il en soit, il n'y a pas beaucoup d'infos, ce qui rend difficile toute analyse.
Homme Curieux- Modérateur Trekkie
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- Message n°5
Re: Les Dropas
Malheureusement les chinois ne sont pas presser d'ouvrir leurs frontières à des chercheurs étranger. Et c'est dommage car leur pays doit regorger de sites archéologiques passionnant.
ded- Je suis dans la place!!
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- Message n°6
Re: Les Dropas
salut,
La chine recèle un immense patrimoine de l'humanité. pendant longtemps, seuls les chercheurs qui étudiaient ce patrimoine possédaient une certaine liberté et pouvaient entrer et sortir de la chine : car les chinois sont immensément fiers de cette richesse et daignent accorder la faveur de l'étudier. Tout ce qui peut contribuer au prestige de cette nation est bien considéré. Donc depuis longtemps, les paléonthologues, les anthropologues, etc, ont des contacts fréquents avec les chercheurs et instituts chinois. Le chinois voit dans cette quête culturelle une sorte de compétition. De quel genre? Il y a de fortes chances que l'on puisse trouver là-bas quelque chose de très ancien. Peut être un ancêtre hominidé, voire la première civilisation. Et c'est pour cela que les chercheurs aujourd'hui veulent pousser leurs études vers l'Asie : le potentiel de cette région du monde est énorme et tout est à découvrir encore. Donc les chinois, orgeuilleux de cette richesse, ne vont certainement pas empêcher les investigations. Ils ont eux-mêmes de fameux chercheurs dans ces domaines, et pour se faire reconnaître, il faut garder le contact, inviter, les autres chercheurs du monde.
Toute découverte en rapport avec le patrimoine d'une nation enorgeuillit cette dernière. Il y a donc toujours un côté politique et diplomate qui accompagne les investigations historiques.
Mais certains pays préfèrent aussi cacher certaines choses, les oublier : si les Drozpas ont été un peuple longuement opprimé comme la légende semble le dire, s'y intéresser ne sera pas convenable - ou alors c'est qu'ils ont tous disparu et qu'ils ne peuvent plus rien revendiquer. Déjà, si les sépultures ont été profanées (pour étude) sans réaction de leur part, c'est un peuple mort-vivant : on ne profanera pas, même pour étude, les sépultures des Zoulous, des Galu-Galu ou des Sheerakawa, sans avoir de problème; c'est très risqué. Le peuple qui se voit profané peut être agressif mais même sans l'être, peut faire en sorte de protéger les objets de leur culte - ne serait-ce que par des substances toxiques.
Pour être honnête, il est normal de considérer que les disques Drozpas recèlent un certain mystère : pour le comprendre, il faut étudier la culture de ceux qui les ont fabriqué. Rien ne sert de déployer le spectromètre de masse : d'abord il faut savoir à quoi ça sert exactment, et ça, seuls les Dropas peuvent le dire.
Secundo : que sait-on du peuple lui-même, de ses us, de son accueil, de sa linguistique, des motifs qui ornent leurs habits, de leur nourriture, de leur vie quotidienne, etc? Nous ne savons rien ; tout est orienté vers leur faible taille et leur grosse tête, mais nous n'avons là que des apparences. On ne peut quasiment rien tirer d'informations aussi superficielles.
Alors que se passe-t-il? Ou sont les informations? Des chercheurs russes se seraient occupés de cette histoire? Et il n'y aurait eu aucun rebondissement? Ce peuple de nains quasiment en train de disparaître, ou très certainement disparu aujourd'hui, n'intéresserait personne? C'est étrange. Quelque chose ne tourne pas rond dans tout ça.
Malheureusement les chinois ne sont pas presser d'ouvrir leurs frontières à des chercheurs étranger. Et c'est dommage car leur pays doit regorger de sites archéologiques passionnant.
La chine recèle un immense patrimoine de l'humanité. pendant longtemps, seuls les chercheurs qui étudiaient ce patrimoine possédaient une certaine liberté et pouvaient entrer et sortir de la chine : car les chinois sont immensément fiers de cette richesse et daignent accorder la faveur de l'étudier. Tout ce qui peut contribuer au prestige de cette nation est bien considéré. Donc depuis longtemps, les paléonthologues, les anthropologues, etc, ont des contacts fréquents avec les chercheurs et instituts chinois. Le chinois voit dans cette quête culturelle une sorte de compétition. De quel genre? Il y a de fortes chances que l'on puisse trouver là-bas quelque chose de très ancien. Peut être un ancêtre hominidé, voire la première civilisation. Et c'est pour cela que les chercheurs aujourd'hui veulent pousser leurs études vers l'Asie : le potentiel de cette région du monde est énorme et tout est à découvrir encore. Donc les chinois, orgeuilleux de cette richesse, ne vont certainement pas empêcher les investigations. Ils ont eux-mêmes de fameux chercheurs dans ces domaines, et pour se faire reconnaître, il faut garder le contact, inviter, les autres chercheurs du monde.
Toute découverte en rapport avec le patrimoine d'une nation enorgeuillit cette dernière. Il y a donc toujours un côté politique et diplomate qui accompagne les investigations historiques.
Mais certains pays préfèrent aussi cacher certaines choses, les oublier : si les Drozpas ont été un peuple longuement opprimé comme la légende semble le dire, s'y intéresser ne sera pas convenable - ou alors c'est qu'ils ont tous disparu et qu'ils ne peuvent plus rien revendiquer. Déjà, si les sépultures ont été profanées (pour étude) sans réaction de leur part, c'est un peuple mort-vivant : on ne profanera pas, même pour étude, les sépultures des Zoulous, des Galu-Galu ou des Sheerakawa, sans avoir de problème; c'est très risqué. Le peuple qui se voit profané peut être agressif mais même sans l'être, peut faire en sorte de protéger les objets de leur culte - ne serait-ce que par des substances toxiques.
Pour être honnête, il est normal de considérer que les disques Drozpas recèlent un certain mystère : pour le comprendre, il faut étudier la culture de ceux qui les ont fabriqué. Rien ne sert de déployer le spectromètre de masse : d'abord il faut savoir à quoi ça sert exactment, et ça, seuls les Dropas peuvent le dire.
Secundo : que sait-on du peuple lui-même, de ses us, de son accueil, de sa linguistique, des motifs qui ornent leurs habits, de leur nourriture, de leur vie quotidienne, etc? Nous ne savons rien ; tout est orienté vers leur faible taille et leur grosse tête, mais nous n'avons là que des apparences. On ne peut quasiment rien tirer d'informations aussi superficielles.
Alors que se passe-t-il? Ou sont les informations? Des chercheurs russes se seraient occupés de cette histoire? Et il n'y aurait eu aucun rebondissement? Ce peuple de nains quasiment en train de disparaître, ou très certainement disparu aujourd'hui, n'intéresserait personne? C'est étrange. Quelque chose ne tourne pas rond dans tout ça.
NEMROD34- Super Jedi de la Force du ziti
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- Message n°7
Re: Les Dropas
Ca me fait penser aux chrestans en france.
Chaque pays semble avoir sa légende équivalente (un peu en l'air l'idée c'est vraie), épidémie simplement ?
Ce qui suit est un copier coller d'un FACTEUR X dont je ne sais plus le numéro (je le scanne si je tombe dessus):
Chaque pays semble avoir sa légende équivalente (un peu en l'air l'idée c'est vraie), épidémie simplement ?
Ce qui suit est un copier coller d'un FACTEUR X dont je ne sais plus le numéro (je le scanne si je tombe dessus):
http://secretebase.free.fr/civilisations/autrespeuples/chrestians/chrestians.htm
LES CHRESTIANS
Des êtres tombés du ciel et venus de nulle part
Peu d'événements étaient susceptibles d'étonner l'homme de l'époque médiévale car il survivait alors à grand-peine. Lorsqu'il avait résisté aux hivers rigoureux, aux guerres féodales et aux fléaux, il acceptait sans trop se formaliser les incursions de l'irréel ou du fantastique dans le réel. D'ailleurs, la frontière était floue entre l'imaginaire et levécu et les phénomènes étranges pouvaient communément être acceptés comme des signes d'uneautre réalité. L'Eglise elle-même saisissait les esprits en évoquant la présence immanente du malin et en décrivant les forces obscures de démons immatériels. La mort faisait partiedu quotidien et chacun se savait continuellement menacé.
Qui étaient les Chrestians qui vécurent près de six siècles en Europe, et d'où venait
réellement ce peuple qui tomba du ciel pour s'installer en France à l'époque médiévale?
Seul cet aspect de la pensée médiévale peut expliquer que, en l'an 800, sous le règne des Carolingiens, les habitants de la vieille ville de Lyon n'aient pas été choqués de l'apparition de surprenants objets descendants du ciel. Les Lyonnais franchirent les portes fortifiées de la ville et gagnèrent avec force cris les champs où venaient de se poser les " vaisseaux ". Ils furent rapidement encerclés, puis un grand silence se fit lorsque le premier pilote sortit de l'engin. Comme les citadins ne comprenaient rien à son langage inconnu, il fut décidé sans autre forme de procès de s'emparer de ces êtres.
Les " pilotes venus du ciel " furent immédiatement cloués sur des planches et confiés au courant de la Saône et du Rhône. Ainsi pensait-on châtier ces étranges visiteurs qui " venaient sur Terre pour abîmer les récoltes par le fracas de leurs terribles engins volants ".
Ce châtiment était supposé dissuader d'autres visiteurs célestes qui, voyant du ciel leurs compagnons emportés par les flots, se seraient tenus à distance de la Terre. Pourtant, des chroniqueurs médiévaux rapportent que, quelque temps plus tard, apparurent en grand nombre,dans nos régions et sous nos climats, des êtres aux caractéristiques physiques pour le moins étonnantes. Bien que d'abord persécuté, ils furent peu à peu tolérés jusqu'à vivre à côté des humains. Relégué au rang des bannis, ils s'organisèrent de façon autonome en marge de lasociété. Les représentants de cette race maudite furent baptisés " Chrestians ", " Gézitains ", " Gahets ", " Agots ", ou encore " Cagots ".
Ci-contre : Exemplaire contemporain d'un bénitier de Cagots en l'église de Saint Savin
Les nombreux historiens à s'être penchés sur l'histoire de cet étrange peuple dispersé, retrouve, aux quatre points cardinaux de l'Europe, la même description de ces êtres que celle qui fut faite en France. Les Chrestians ont des caractéristiques physiques étranges : ils sont chauves, ils n'ont pas de pavillons d'oreilles visibles ( à leur place, on distingue deux trous, comme chez les sauriens ), ilsont les pieds et les mains palmés et ils dégagent une chaleur corporelle absolument anormale. Ce sont des particularités, maintes fois relevées, qui firent qu'on les relégua longtemps en tribus, aux portes des cités où ils érigeaient des sortes de faubourgsautonomes. Comme on considérait alors qu'ils avaient un aspect repoussant, obligation leurétait faite d'être amplement vêtus, encapuchonnés et chaussées. Ceci étant, même soigneusement vêtus, les Chrestians avaient pour autres obligations de porter, cousue surleurs vêtements, bien visible sur la poitrine, une patte d'oie séchée et peinte en rouge. Cette signalétique rappelée à la population que ces êtres avaient des pieds et les mains palmés !
On pourrait voir dans ces descriptions le fruit d'un ramassis de légendes et de faussesinformations colportées par la rumeur si, au XVIe siècle, Ambroise Paré ( 1509 - 1590 ), lepère de la chirurgie moderne, affecté au service du roi Henri II, ne s'était scientifiquement penché sur cette étrange race, maudite depuis déjà trois siècles.
À l'époque, les Chrestians, qui vivaient isolés, n'avaient perdu aucune de leurs caractéristiques physiques et physiologiques consignées sous les Carolingiens. Ambroise Paré passa plusieurs semaines à les étudier en s'efforçant de ne pas se laisser influencer, il s'attacha à accumuler de véritables constatations médicales et à les consigner soigneusement par écrit. Il rapporte notamment leur capacité prodigieuse à pratiquer la " momification par magnétisme ". Cet exercice, rapporté ici dans le vieux français d'origine, est supposé révéler la puissance du magnétisme personnel: " l'un d'iceux tenant en sa main une pomme fraîche, icelle après apparaisoit aussi aride et ridée que si elle eut restée l'espace de huit jours au soleil ". Ambroise Paré explique cette réaction par la chaleur anormalement élevée dégagée par leur corps. On a dit que lors d'une saignée, est sorti de ses veines un liquide presque bouillonnant et d'une teinte entre le bleu et le vert. Ces caractéristiques firent qu'un arsenal juridique spécifique fut mis sur pied afin de les mettre au ban de la société et d'éviter qu'ils ne se mêlent aux humains.
Vivant en groupes dans les faubourgs des cités, ils avaient leurs propres cimetières où ils étaient systématiquement inhumés sans prêtre ni office religieux. Ils ne pouvaient exercer qu'un seul métier, celui de tonnelier car au Moyen Âge le boisétait réputé ne pas véhiculer les maladies. Ces êtres étranges ne vivaient cependant pas dans la misère car ils avaient un grand sens des affaires. D'anciennes archives notariales nous ont laissé des inventaires de biens établis après le décès de Chrestians. On peut découvrir la description d'un niveau de vie très évoluée. Ces textes montrent, en outre, queces hôtes étranges possédaient une capacité juridique relativement évoluée pour l'époque.C'est probablement pour éviter le développement d'une économie parallèle indépendante qu'un arsenal juridique draconien fut alors mis en place. Ainsi, bien qu'interdits des cités, les Chrestians pouvaient posséder des maisons intra muros à condition de ne pas les habiter eux-mêmes. Ceux qui étaient tentés de louer leurs propriétés à un humain devait obligatoirement passer par l'intermédiaire d'un gérant non Chrestians. Bref, un racket bien organisé a rapidement rendu tout à fait tolérable la présence de ces populations marginalisées.
Ceci étant, la tolérance n'aurait pas pu aller jusqu'à l'intégration : il leur était interdit de se marier, et plus encore de s'accoupler avec des humains. D'ailleurs, l'idée faisait sourire à l'époque car on semblait ne rien connaître de leur mode de reproduction. La rumeur populaire les disait bisexués au point que jamais on ne parlait d'eux en utilisant un genre ! C'est lors d'un procès que la discrimination était encore plus forte : il fallait les serments ou les témoignages de 7 Chrestians pour pouvoir rivaliser avec celui d'un humain ! Les choses continuèrent ainsi pendant tout le Moyen Âge mais, peu à peu, les Chrestians se sont fondus dans la population et, c'est peut-être le signe de leur intégration, au XVIIIe siècle, seul le folklore parle d'êtres aux caractéristiques aussi étranges. L'histoire devait accélérer la disparition du peuple banni.
La révolution de 1789 donna naissance au " Droits de l'Homme ". Les Chrestians devait immanquablement en profiter. Néanmoins, compte-tenu de l'étrangeté de leurs caractéristiques, une vaste étude médicale fut organisée afin de savoir si, oui ou non, ils pouvaient être considérés comme des hommes jouissant de la plénitude de ces droits nouvellement acquis. Les conclusions de l'examen révélèrent que les spécimens examinés n'étaient affectés qu'approximativement des symptômes décrits par Ambroise Paré et les chroniqueurs du Moyen Âge. Dès lors, les Chrestians purent se fondre et se couler dans l'anonymat de la ville, achever la totale dilution de leurs caractéristiques et occuper jusqu'aux plus hautes fonctions au sein de l'état sans que leurs origines puissent même lors être rappelées.
Pourtant, après les glorieuses victoires de l'Empire, auxquelles bon nombre d'entre eux avait efficacement participé, un reste de mépris existait encore à leur égard dans les campagnes.Quelques Chrestians y revinrent malgré tout, chargés de gloire. On possède même le témoignage de l'un d'eux, se plaisant à venir bruyamment, avec du retard, aux offices du dimanche, couvert de toutes ses médailles bravement gagnées. Vingt années plus tôt, n'ayant pu imaginer mettre les pieds dans l'église d'une ville ou d'un village, il bravait enfin ses anciens tortionnaires, analphabètes pour la plupart, afin de voir si l'un d'eux aurait eu,s elon ses propres termes, " l'envie de venir lui friser les moustaches ".
Rares sont les scientifiques modernes qui se penchèrent sur ce phénomène historique. Les thèses ou écrits rédigés sur les Chrestians se comptent sur les doigts d'une main. À la faculté d'histoire, on consacre aujourd'hui un cours à l'énigme des Chrestians mais leur origine reste toujours inexpliquée. Certains auteurs du XIXe siècle ont avancé l'hypothèseque selon quoi ces étranges individus auraient pu être des lépreux. Cette thèse ne tient pas car la façon dont ils étaient traités ne ressemble pas au traitement particulier et aux signes distinctifs imposés aux lépreux au Moyen Age. En outre, des cimetière de Chrestians des XIIe et XIIIe siècles, récemment fouillés, laissent entrevoir des squelettes parfaitement sains, dépourvus des terribles lésions osseuses que l'on peut observer sur les restes des lépreux. D'autres chercheurs avancèrent l'hypothèse selon laquelle les Chrestians seraient les descendants de Sarrasins restés sous nos climats après les invasions. Or les chroniques du Moyen Âge assurent que les rares Chrestians non chauves portant les cheveux longs les avaient invariablement " blond comme blé au soleil ". On a aussi parlé d'éventuels descendants de Vikings mais ces derniers étaient déjà, depuis longtemps, intégrés à la société européenne.
Le milieu purement scientifique, en dehors d'Ambroise Paré, ne s'est jamais préoccupé de savoir qui était vraiment les Chrestians, se contentant d'affirmer péremptoirement que " des êtres bisexués, sans oreille, aux doigts palmés, avec un sang vert et chaud n'existaient pas ". Pourtant, en reprenant certains éléments de leur histoire, on peut, par exemple, être frappé par l'aspect de saurien qui fait du Chrestian un parfait extraterrestre, semblable à ceux décrits par les contactés depuis le milieu du XXe siècle ! Ensuite, fait encore plus troublant, ces êtres " venus de nulle part " débarquent en Occident et principalement en France, juste après qu'y soit apparue une inexplicable invasion de vaisseaux aériens dont les pilotes, une fois pris,étaient systématiquement jetés dans les rivières après avoir été cloués en croix. Ne faudrait-il pas voir en eux des survivants de débarquement durement réprimés, résultat d'un exode planétaire pacifique, plutôt que d'une tentative de colonisation ?
Ces vaisseaux apparus en grandes quantités, comme le décrivent si bien les documents de l'époque appelés capitulaires, n'ont finalement été remarqué que là où il y avait des témoins pour les voir, c'est-à-dire près des cités. On peut penser que la plupart de ces engins ont pu finalement débarquer sur Terre le plus paisiblement du monde. Quoi d'étonnant, dans ce cas, à ce que cette population aux caractéristiques physiologiques particulières ait formé une population rapidement mis à l'écart des villes ? Pendant plus de six siècles, ces hommes sont restés " les maudits " de notre histoire et il leur faudra attendre le XIXe siècle pour se fondre définitivement dans les rangs de la population terrienne. Pour approcher un peu plus le mystère de cette population paria, le château médiéval de Nestes ( IXe - XIe siècles ), dans les Hautes-Pyrénées, a ouvert le musée des Cagots. On y apprend notamment que l'on interdisait à ces " intouchables " du Moyen Âge de boire aux fontaines de peur qu'il ne les souille!
Justeuneombre- Administratrice Piou
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- Message n°8
Re: Les Dropas
Chaque pays semble avoir sa légende équivalente (un peu en l'air l'idée c'est vraie), épidémie simplement ?
Je suis bien d'accord, peut être par ce que cela intrigue. Sinon peut être une maladie génétique, les roux ont aussi souffert de mauvaise réputation alors imaginé une famille de roux arrivant dans une région sans roux (comment ça c'est vilain de se moquer du terrible monstre géant roux qui était un marin hollandais échoué dans un Japon médiéval ?? mais non il avait qu'a pas voler les gens, quoi les gens partaient en hurlant devant lui ? mais euh).
Sinon pour la Chine je pense aussi qu'il doit y avoir des merveilels archéologique la ba - et pas que les tombeaux-, mais bon tout vient à point, un jour.
ded- Je suis dans la place!!
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- Message n°9
Re: Les Dropas
Salut,
Oui mais est-ce comparable les Chrestians et les Dropas?
- pour les Chrestians, on a juste quelques écrits. Et d'après ce que j'ai pu voir sur internet, ça se contredit : parfois sang bleu, parfois sang vert - parfois pas de lobes ou même d'oreilles, parfois juste une ethnie d'origine gothique. Des cagots (ou "pékins" ici), ou désignés comme tels, il y en avait chez moi jusqu'en 1960 : ils vivaient retirés dans la forêt. Ils étaient tout simplement très pauvres et vivaient de braconnage. On les retrouvait souvent mort de froid à la suite d'un coma éthylique. Ils se reproduisaient entre eux, ne pouvant faire autrement, ce qui contribuait à ne pas arranger leur situation.
- pour les dropas, on a des sépultures et des disques, et quelques photos, plus ce qui semble être un langage hiéroglyphique. Disons que c'est un peu plus que de simples ragots au sujet de gens désoeuvrés, refoulés par la bourgade et la curaille. Bien que quelque part, ça se ressemble un peu.
Chaque pays semble avoir sa légende équivalente (un peu en l'air l'idée c'est vraie), épidémie simplement ?
Oui mais est-ce comparable les Chrestians et les Dropas?
- pour les Chrestians, on a juste quelques écrits. Et d'après ce que j'ai pu voir sur internet, ça se contredit : parfois sang bleu, parfois sang vert - parfois pas de lobes ou même d'oreilles, parfois juste une ethnie d'origine gothique. Des cagots (ou "pékins" ici), ou désignés comme tels, il y en avait chez moi jusqu'en 1960 : ils vivaient retirés dans la forêt. Ils étaient tout simplement très pauvres et vivaient de braconnage. On les retrouvait souvent mort de froid à la suite d'un coma éthylique. Ils se reproduisaient entre eux, ne pouvant faire autrement, ce qui contribuait à ne pas arranger leur situation.
- pour les dropas, on a des sépultures et des disques, et quelques photos, plus ce qui semble être un langage hiéroglyphique. Disons que c'est un peu plus que de simples ragots au sujet de gens désoeuvrés, refoulés par la bourgade et la curaille. Bien que quelque part, ça se ressemble un peu.