Une nouvelle race de ET serait connue :
LES TALL WHITES :
Des extraterrestres luminescents, de grande taille, à la peau blanche et aux yeux bleus, courrant à plus de 60 km/h et vivant 800 ans auraient investi depuis très longtemps la base de Nellis (Area 51) dans le Nevada.
Les “Tall Whites” ou “Grand Blancs” ne sont pas une race de requins particulièrement belliqueuse mais bien une “nouvelle” espèce d'extraterrestres, nouvelle dans le sens où Charles Hall, un ancien météorologue de l'Air Force a révélé tout récemment au grand public l'existence de cette très étrange race humanoïde de grande taille. A l'instar du phénomène des Ummites ou des Pléadiens de Billy Meier, nous sommes en présence d'un récit cohérent formant un tout et donnant un aperçu assez large, avec néanmoins certaines lacunes (comme leur origine exacte), de l'existence d'une civilisation extraterrestre à part entière. Cependant, le point commun avec les Ummites ou les Pléadiens s'arrête au niveau de la simple cohérence du récit car l'affaire des Tall Whites présente ses propres originalités. A première vue, il est sans doute normal que l'on n'en ait pas beaucoup entendu parler auparavant comme ce fut le cas avec les « Short Greys » parce que les Tall Whites ne seraient pas enclins à perpétrer des abductions. Par conséquent, à notre connaissance, il ne doit pas exister énormément de récits d'abductés, de contactés ou de simples témoins qui soient entrés en contact de façon significative avec les Tall Whites. Mais ce n'est pas parce que nous ne sommes pas parvenus à identifier clairement des témoignages évoquant des interactions avec ceux-ci qu'ils n'existent pas. Il reviendra à des spécialistes de la question de passer en revue tous les témoignages existant pour voir s'ils correspondent aux traits caractéristiques des comportements et de l'apparence de ces “Grands Blancs”.
Que sont-ils ?
Mais que sont tout d'abord les Tall Whites ? Comment se présentent-ils? Ce sont des humanoïdes de grande taille (minimum 1m 80 à 2 mètres pour les plus jeunes individus, bien plus grands pour les plus âgés) à la peau très blanche et crayeuse. Ils ont une longévité étonnante par rapport à nous puisqu'ils atteignent les 800 ans. Selon Charles Hall, c'est justement dans la seconde phase de leur existence, lorsqu'ils deviennent plus âgés, qu'ils se mettent à véritablement à grandir, atteignant des tailles assez exceptionnelles selon nos critères. Par contre, un observateur aurait du mal à distinguer un enfant Tall White d'un enfant humain. Ils ont un visage qui pourrait ressembler aux nôtres si ce n'est que les Tall Whites sont dotés de grands yeux bleus, bien plus larges que les nôtres puisque leurs limites dépassent la frontière temporale, les orbites se poursuivant un peu en dessous des lobes temporaux. Ils sont minces, portent des cheveux courts, blonds, un corps apparemment bien proportionnés. La principale différence entre eux et nous réside dans leurs mains qui n'ont pas de pouces opposables d'une part. D'autre part, ils ont 4 doigts qui, au lieu de se terminer par des ongles, se terminent par des pinces. Les femmes ont des traits féminins distinctifs semblables aux femmes humaines. Elles ont des cheveux courts. Ils sont généralement vêtus de combinaisons très moulées, argentées et qui émet une lumière variable qui peut être parfois très éblouissante. Ils ont des capacités de lévitation, sans doute générée par un équipement logé dans leur combinaison ainsi que le pouvoir de créer autour d'eux une sorte de champ magnétique « isolant » qui les protège d'éventuels projectiles comme des balles de fusil ou des pierres qui leur seraient lancées. Ils peuvent courir et dépasser les 60 km/h, ils sont physiquement très fort. Lorsqu'ils communiquent entre eux, ils émettent des sortes d'aboiements et de sifflements. Ils ont des capacités télépathiques grâce à un dispositif technologique et sont capables de parler notre langage et de nous comprendre, sans doute également par le biais d'une technologie. Créatures improbables ? L'analyse du récit de Charles Hall et de la descrïption très détaillée des extraterrestres et de leur comportement par des spécialistes en exobiologie démontre que ses descrïptions sont cohérentes et qu'il est très probable que de telles créatures physiques se manifestent de la sorte.
Où les trouve-t-on ?
Comment Charles Hall les a-t-il rencontrés ? Entre 1965 et 1967, ce spécialiste en météorologie, aujourd'hui ingénieur nucléaire pour une firme à Albuquerque au Nouveau-Mexique, avait été assigné comme observateur météo par l'US Air Force sur l'immense base de Nellis dans le Nevada. Il faut savoir que la base de Nellis est vaste comme un petit pays, sans doute comme la Suisse et regroupe en son sein plusieurs «sous» bases, à savoir différentes zones d'essais pour l'artillerie, les simulations de combats aériens et de bombardements ainsi que pour les essais des fameux «black projects», ces armements ultrasecrets , principalement des avions et autres appareils furtifs aux performances très confidentielles. C'est sur la base de Nellis, principalement au nord-est que se situe la fameuse Area 51 , la zone 51 de Groom Lake. Si vous voulez trouver de nombreuses informations sur les lieux d'implantation des Tall Whites ainsi qu'un excellent résumé du phénomène, consultez le site anglophone de Gerry Zeitlin, Open Seti. Gerry a de plus l'intention de publier sur CD Rom, puis dans un livre, des rendus en 3 dimensions des vaisseaux spatiaux des Tall Whites ainsi que de leurs installations sur base des témoignages de Charles Hall. Les Tall Whites étaient installés dans des zones voisines de l'Aire 51, principalement l'Aire 52 et 53, au sud du côté d'Indian Springs.
Solitude dans le désert du Nevada
Charles Hall succédait, nous raconte-t-il, à une longue liste de ses prédécesseurs qui s'étaient soit enfuis, soit avaient craqués nerveusement ou étaient tout simplement décédés suite à leurs interactions avec cette étrange race d'extraterrestres dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils peuvent se montrer très agressifs et assez radicaux dans leurs moyens de défense, n'hésitant pas à tuer un être humain s'ils se sentaient en danger. Hall était contraint de séjourner de très longues périodes seuls dans ce magnifique et inhospitalier désert, installé dans un bunker niché entre les rochers arides, ocres, jaunes et blancs, les couleurs principales que l'on retrouve dans cette région. Etant donné que la tâche principale de Hall est de prendre des séries de mesures météo et d'observer les formations nuageuses pour le compte des exercices d'artillerie de l'Air Force, l'intéressé passait beaucoup de temps à se balader dans la zone avoisinant son baraquement “bunker” et à regarder le ciel. Il ne pouvait pas manquer de voir les nombreuses activités, souvent nocturnes, parfois diurnes de ces êtres étranges qui se déplaçaient dans des appareils ne ressemblant en rien aux modèles militaires. Souvent, les soirs de pleine lune, il pouvait apercevoir clairement les allers et venues de vaisseaux spatiaux de petite et moyenne taille emportant des Tall Whites parfois accompagnés de hauts gradés (des généraux) de l'Air Force. Il était également témoin de regroupements de ces vaisseaux, parfois plusieurs dizaines (jusqu'à 75) sur une zone d'atterrissage bordant les portes d'un hangar bunker installé à flanc de montagne.
Les vaisseaux des Tall Whites
LES TALL WHITES :
Des extraterrestres luminescents, de grande taille, à la peau blanche et aux yeux bleus, courrant à plus de 60 km/h et vivant 800 ans auraient investi depuis très longtemps la base de Nellis (Area 51) dans le Nevada.
Les “Tall Whites” ou “Grand Blancs” ne sont pas une race de requins particulièrement belliqueuse mais bien une “nouvelle” espèce d'extraterrestres, nouvelle dans le sens où Charles Hall, un ancien météorologue de l'Air Force a révélé tout récemment au grand public l'existence de cette très étrange race humanoïde de grande taille. A l'instar du phénomène des Ummites ou des Pléadiens de Billy Meier, nous sommes en présence d'un récit cohérent formant un tout et donnant un aperçu assez large, avec néanmoins certaines lacunes (comme leur origine exacte), de l'existence d'une civilisation extraterrestre à part entière. Cependant, le point commun avec les Ummites ou les Pléadiens s'arrête au niveau de la simple cohérence du récit car l'affaire des Tall Whites présente ses propres originalités. A première vue, il est sans doute normal que l'on n'en ait pas beaucoup entendu parler auparavant comme ce fut le cas avec les « Short Greys » parce que les Tall Whites ne seraient pas enclins à perpétrer des abductions. Par conséquent, à notre connaissance, il ne doit pas exister énormément de récits d'abductés, de contactés ou de simples témoins qui soient entrés en contact de façon significative avec les Tall Whites. Mais ce n'est pas parce que nous ne sommes pas parvenus à identifier clairement des témoignages évoquant des interactions avec ceux-ci qu'ils n'existent pas. Il reviendra à des spécialistes de la question de passer en revue tous les témoignages existant pour voir s'ils correspondent aux traits caractéristiques des comportements et de l'apparence de ces “Grands Blancs”.
Que sont-ils ?
Mais que sont tout d'abord les Tall Whites ? Comment se présentent-ils? Ce sont des humanoïdes de grande taille (minimum 1m 80 à 2 mètres pour les plus jeunes individus, bien plus grands pour les plus âgés) à la peau très blanche et crayeuse. Ils ont une longévité étonnante par rapport à nous puisqu'ils atteignent les 800 ans. Selon Charles Hall, c'est justement dans la seconde phase de leur existence, lorsqu'ils deviennent plus âgés, qu'ils se mettent à véritablement à grandir, atteignant des tailles assez exceptionnelles selon nos critères. Par contre, un observateur aurait du mal à distinguer un enfant Tall White d'un enfant humain. Ils ont un visage qui pourrait ressembler aux nôtres si ce n'est que les Tall Whites sont dotés de grands yeux bleus, bien plus larges que les nôtres puisque leurs limites dépassent la frontière temporale, les orbites se poursuivant un peu en dessous des lobes temporaux. Ils sont minces, portent des cheveux courts, blonds, un corps apparemment bien proportionnés. La principale différence entre eux et nous réside dans leurs mains qui n'ont pas de pouces opposables d'une part. D'autre part, ils ont 4 doigts qui, au lieu de se terminer par des ongles, se terminent par des pinces. Les femmes ont des traits féminins distinctifs semblables aux femmes humaines. Elles ont des cheveux courts. Ils sont généralement vêtus de combinaisons très moulées, argentées et qui émet une lumière variable qui peut être parfois très éblouissante. Ils ont des capacités de lévitation, sans doute générée par un équipement logé dans leur combinaison ainsi que le pouvoir de créer autour d'eux une sorte de champ magnétique « isolant » qui les protège d'éventuels projectiles comme des balles de fusil ou des pierres qui leur seraient lancées. Ils peuvent courir et dépasser les 60 km/h, ils sont physiquement très fort. Lorsqu'ils communiquent entre eux, ils émettent des sortes d'aboiements et de sifflements. Ils ont des capacités télépathiques grâce à un dispositif technologique et sont capables de parler notre langage et de nous comprendre, sans doute également par le biais d'une technologie. Créatures improbables ? L'analyse du récit de Charles Hall et de la descrïption très détaillée des extraterrestres et de leur comportement par des spécialistes en exobiologie démontre que ses descrïptions sont cohérentes et qu'il est très probable que de telles créatures physiques se manifestent de la sorte.
Où les trouve-t-on ?
Comment Charles Hall les a-t-il rencontrés ? Entre 1965 et 1967, ce spécialiste en météorologie, aujourd'hui ingénieur nucléaire pour une firme à Albuquerque au Nouveau-Mexique, avait été assigné comme observateur météo par l'US Air Force sur l'immense base de Nellis dans le Nevada. Il faut savoir que la base de Nellis est vaste comme un petit pays, sans doute comme la Suisse et regroupe en son sein plusieurs «sous» bases, à savoir différentes zones d'essais pour l'artillerie, les simulations de combats aériens et de bombardements ainsi que pour les essais des fameux «black projects», ces armements ultrasecrets , principalement des avions et autres appareils furtifs aux performances très confidentielles. C'est sur la base de Nellis, principalement au nord-est que se situe la fameuse Area 51 , la zone 51 de Groom Lake. Si vous voulez trouver de nombreuses informations sur les lieux d'implantation des Tall Whites ainsi qu'un excellent résumé du phénomène, consultez le site anglophone de Gerry Zeitlin, Open Seti. Gerry a de plus l'intention de publier sur CD Rom, puis dans un livre, des rendus en 3 dimensions des vaisseaux spatiaux des Tall Whites ainsi que de leurs installations sur base des témoignages de Charles Hall. Les Tall Whites étaient installés dans des zones voisines de l'Aire 51, principalement l'Aire 52 et 53, au sud du côté d'Indian Springs.
Solitude dans le désert du Nevada
Charles Hall succédait, nous raconte-t-il, à une longue liste de ses prédécesseurs qui s'étaient soit enfuis, soit avaient craqués nerveusement ou étaient tout simplement décédés suite à leurs interactions avec cette étrange race d'extraterrestres dont le moins que l'on puisse dire est qu'ils peuvent se montrer très agressifs et assez radicaux dans leurs moyens de défense, n'hésitant pas à tuer un être humain s'ils se sentaient en danger. Hall était contraint de séjourner de très longues périodes seuls dans ce magnifique et inhospitalier désert, installé dans un bunker niché entre les rochers arides, ocres, jaunes et blancs, les couleurs principales que l'on retrouve dans cette région. Etant donné que la tâche principale de Hall est de prendre des séries de mesures météo et d'observer les formations nuageuses pour le compte des exercices d'artillerie de l'Air Force, l'intéressé passait beaucoup de temps à se balader dans la zone avoisinant son baraquement “bunker” et à regarder le ciel. Il ne pouvait pas manquer de voir les nombreuses activités, souvent nocturnes, parfois diurnes de ces êtres étranges qui se déplaçaient dans des appareils ne ressemblant en rien aux modèles militaires. Souvent, les soirs de pleine lune, il pouvait apercevoir clairement les allers et venues de vaisseaux spatiaux de petite et moyenne taille emportant des Tall Whites parfois accompagnés de hauts gradés (des généraux) de l'Air Force. Il était également témoin de regroupements de ces vaisseaux, parfois plusieurs dizaines (jusqu'à 75) sur une zone d'atterrissage bordant les portes d'un hangar bunker installé à flanc de montagne.
Les vaisseaux des Tall Whites