Pomme Golden a écrit:NICE 1608 - Dans les archives de la ville de Nice, une bien curieuse histoire d'intervention extraterrestres fût retrouvée. Nous allons maintenant vous livrer ce document.
Illustrations
Des années 1970s à 1990s, le GEOS réalise 9 séries 1 de diapositives retraçant l'histoire des ovnis en tant que vaisseaux extraterrestres 2[2]. Parmi celles-ci, une interprétation picturale libre du récit de 1608 :
LE PORT DE NICE 1608Au début du xviième siècle, Nice port principal du Royaume du Piémont connait une période de grande prospérité. L'impossante forteresse qui domine la ville décourage les incursions barbaresques qui ravagent régulièrement les côtes voisines.
SUR LE QUAISur le quai de riches demeures aux balcons ouvragés. Dans cette charmante cité maritime on respire la paix dans un climat paradisiaque, quand soudain !.....
APPARITION D'OVNIAu crépuscule du 5 aouut 1608, les niçois voient apparaître dans le ciel, trois masses lumineuses se déplaçant à grande vitesse. Les engins s'arrêtent au dessus de la forteresse. Ils descendent à 1 m de la surface de la mer, à faible vitesse. Les habitants peuvent examiner en détails les trois engins.
LES ENGINSSe mantenant proche de l'eau les trois masses provoquent une sorte de bouillonnement de l'eau avec dégagement d'une vapeur ocre-orangée, dans un bruit infernal. De l'un des engins surgit un être, puis deux......
LES ETRESCes deux personnages plongent dans l'eau jusqu'aux hanches. Leurs bras maintiennent à la verticale deux tubes raccordés à la ceinture. Pendant deux heures les engins les engins restent pratiquement en cette position. Puis les êtres embarquent vers 22 h, les engins partent vers l'Est, dans un bruit infernal, et disparaissent en quelques secondes.
AVERTISSEMENT DE DIEULes Niçois attribuant ce phénomène à un avertissement de Dieu, ils s'ébranlent en de longues processions religieuses, portant le christ en tête, jusqu'à l'aube du 6 août 1608.
DE NOUVEAU A GENESAu matin du 22 août, les trois engins se présentent à Gênes. Informé des évènnement suvenus à Nice 17 jours auparant, il déclanchent un violent tir d'artillerie sur les trois vaisseaux. 800 boulets sont ainsi tirés, sans que les engins ne subissent de dommage. Après une heure d'évolution au dessus des flot, un engin se détache du groupe et fonce sur la ville à une vitesse vertigineuse.
PANIQUEUne folle panique s'empare alors de la population, et l'on relève plusieurs morts et blessés après le passage de l'engin à la suite de piétinement, émotions ou radiations émises par le vaisseau. Les trois vaisseaux se regroupent ensuite et disparaissent vers l'Est à une vitesse vertigineuse.
A MARTIGUESLe 25 août 1608, dans le ciel de Martigues apparait un vaisseau spatial qui évolue durant une 1 h 30 au dessus de l'aglomération. Deux êtres sortent du vaisseau, évoluant autour de l'engin et semblant se livrer à un duel en plein ciel. Ce sera la dernière manifestation relaté par cet écrit dans la région Méditerranéenne.
PLUIE ROUGEUne semaine plus tard, d'abondantes pluies rouge comme le sang tombent dans la région. Les habitants pensent qu'il s'agit de sang, et qu'ils ont à faire à une vengeance divine, à la suite des èvennements de Martigues, Nice ou Gènes !.....
DANS LES EGLISESPendant quarante jours les chapelles, églisses et cathédrales de la région allant de Martigues à Gènes, voient une foule énorme venir prier jour et nuit.
Source :
http://www.les-repas-ufologiques.com/L'histoire%20des%20soucoupes%20volantes%20en%20photos.htm[color=red]
Vos avis?
[b]CASADAMONT ne pouvant continuer l'édition des séries, c'est le GEOS France qui en prit la relève. Malheureusement le financement d'un tel projet était d'un coût très élevé à cette époque. En une quinzaine d'années, 9 séries verront le jour. La série de Nice en 1608, a donc été la première à être publiée par le GEOS France et Gérard LEBAT (copyright)Discours des terribles et espouvantables signes apparus sur la mer de Gennes (1608)
En août 1608, entre Gênes (Italie) et Marseille (France), est observée une série de démonstrations et de combats aériens. Des gens en meurent de frayeur. S'ensuivent des pluies de sang tout le long de la côte jusqu'à Marseille. Le combat a lieu entre des apparitions volantes et d'autres ne faisant qu'émerger en partie de la mer au large de Gênes. Les soldats de la forteresse de cette ville tentent de disperser les intrus en tirant pas moins de 800 coups de canon contre eux. On interprête ces signes comme un avertissement de Dieu qui s'apprêterait à punir les hommes.
Le récit en provencal (dialecte français de dérivation néo-latine) est imprimé à Troyes, par Odart Aulmont rüe de la Poissonnerie, Jouxte la copie Imprimée à Lyon, (vers 1608 ?); plaquette in-12, vélin souple moderne. 8 pp. - Canard de toute rareté, inconnu de Arbour, de Betz qui ne cite qu'une impression d'Odart Aulmont, publiée en 1624 en collaboration avec Chevillot, un livre de J. Rochette. L'événement relaté eut lieu en 1608. L'édition lyonnaise mentionnée au titre a probablement paru en 1608.
Corrard de Breban, p. 47-48, dit Odart Aulmont est mentionné sur les registres de l'état civil de Troyes dès 1616, et il y est déjà qualifié d'imprimeur et de libraire. Il était d'une famille de dominotiers de Troyes. Ce livret pourrait laisser penser que cet imprimeur exerçait déjà en 1608. Il est inconnu de Corrard de Bréban qui, lui aussi, ne cite que le livre de Rochette.- Manque à Socard. Biblioth. de Troyes.-
Caillet 3144 cite l'édition de Paris 1608. Ci-dessous une réédition, probablement plus récente car de meilleure facture (l'ornement en page de titre peut être retrouvé dans d'autres ouvrage de l'imprimeur Louis Perrin en 1875 [1]), de cette dernière.
Voir le scan des documents initiaux (et source) :
http://rr0.org/data/1608/Signes/